Feeling Minnesota
( 2.75 / 5 )
Chaque été, Jean et Marie partent en vacances dans les Landes. Mais cette année, alors que Marie dort sur la plage, Jean disparaît. S’est-il noyé ? S’est-il enfui ? Marie se retrouve face à l’énigme de la disparition de l’homme de sa vie.
Pensez aussi à vos amis
A propos de Sous le Sable
Charlotte Rampling
Marie Drillon
Bruno Cremer
Jean Drillon
Jacques Nolot
Vincent
Alexandra Stewart
Amanda
Pierre Vernier
Gérard
Andrée Tainsy
Suzanne
Michel Cordes
le superintendant
Maya Gaugler
German woman
Damien Abbou
Chief lifeguard
David Portugais
Young lifeguard
Pierre Soubestre
Policeman
Agathe Teyssier
In charge of luxury store
Laurence Martin
Apartment seller
Jean-François Lapalus
Paris doctor
Laurence Mercier
Paris doctor's secretary
Fabienne Luchetti
Pharmacist
Director
François Ozon
Screenplay
François Ozon
Screenplay
Marina de Van
Screenplay
Marcia Romano
Screenplay
Emmanuèle Bernheim
Producer
Marc Missonnier
Producer
Olivier Delbosc
Original Music Composer
Philippe Rombi
Director of Photography
Antoine Héberlé
Director of Photography
Jeanne Lapoirie
Editor
Laurence Bawedin
Casting
Antoinette Boulat
Production Design
Sandrine Canaux
Art Direction
Sandrine Canaux
Costume Design
Pascaline Chavanne
Fidélité Productions
Euro Space Inc.
Vous devriez aussi aimer
1922
( 2.9665 / 5 )
Une Vie moins ordinaire
( 3.05 / 5 )
Haseena Parkar
( 2.75 / 5 )
Tai-Pan
( 2.35 / 5 )
Un commentaire
Rating:
Il ne se passe rien, mais le film passe vite car tout est là !
Quand on perd l’être aimé, on peut s’inventer son univers pour fuir la réalité et survivre encore. On n’y croit pas à 100% mais ça permet au temps de s’écouler sans que le poids de la peine s’écroule sur nous. On gère alors chaque instant comme on peut. C’est ce que fait Marie. Au début de l’histoire on croit au suspens, on attend des indices pour basculer dans une intrigue puis très vite on se range au côté de Marie en feignant de croire aussi qu’il est encore là sans demander aucune contrepartie au scénario. L’absence est mise en scène et confère au disparu une présence encore plus forte.
Ce film bouleversera celui qui a les clés pour en percevoir les subtilités. Chaque scène associe le spectateur à la mélancolie de Marie en imposant à celui-ci une oppressante complicité. On comprend qu’après, plus rien ne sera comme avant. On fait avec. On fait comme on peut.